Reliek est né d’un rêve que je m’étais refusé pendant trop longtemps. Après avoir fait des études de marketing et de finance, j’ai quitté la France et la région Rhône-Alpes pour venir travailler en Belgique à Bruxelles. Après 10 ans de carrière au sein de groupes internationaux, la crise de la Covid, l’essor du télétravail et une réflexion écologique de plus en plus centrale pour moi, j’ai eu besoin de retrouver du sens dans mon métier.

Passionné de mobilier et d’objets de décoration anciens depuis mon enfance, j’ai eu la chance d’avoir une mère et une grand-mère qui ont su me transmettre l’histoire de chaque meuble et de chaque tableau, qui font aujourd’hui partie intégrante de notre patrimoine familial. Tous ces objets sont nos reliques, car nous décidons de les symboliser. «Ces objets nous accompagnent, nous entourent et nous constituent».

L’engagement est nécessaire car l’objet ancien est unique. Il ne s’agit pas de consommer, d’accumuler et de remplacer, mais d’investir, de chérir et de transmettre.

Reliek a pour valeur l’humilité, la transmission et le plaisir… Je déniche des objets dont la valeur n’est pas uniquement liée à la cote d’un artiste ou aux effets de mode, mais surtout liée à sa place dans l’histoire de l’art, à la rareté et donc sa préciosité, à son pouvoir décoratif, à sa beauté et son utilité.